Poissons sauvages ou d´élevage?

INTRODUCTION:

L´alimentation humaine nécessite
l´apport de protéines d´origine animale. Ainsi, l´Homme élève et pêche les poissons dans la chair est riche en protéines trés digestes, en acides gras du types oméga 3, en oligo-éléments et en vitamines.






Questions sur le thème:
Comment la pêche intensive affecte-t-elle les milieux océaniques ?
Pourquoi l´aquaculture intensive n´est-elle pas une alternative satisfaisante ?
Comment l´aquaculture biologiques permet-elle de s´inscrire dans un développement durable des ressources ?


1·Comment la pêche intensive affecte-t-elle les milieux océaniques ?
Je vais parler sur le cabillaud de l´Atlantique, un exemple oú il y a la pêche intensive:


Durant des siècles, le cabillaud de l´Atlantique a été exploité, la quantité des cabillauds adultes est aujourd´hui au plus bas. La découverte et la fouille d´un bateau de pêche, perdu en mer au large des côtes de la Nouvelle-Écosse vers les années 1750, a fourni une occasion de comparer la taille des cabillauds entre le18º siècle et le 20º siècle. Les cabillauds, pris aujourd´hui au large de la Nouvelle-Écosse, sont beaucoup plus petits que les cabillauds pris dans les années 1750. Il y a donc moins de reproducteurs pour perpétuer l´espèce.

Afin de reconstituer les stocks, l´Union européene a proposé et mis en applicationj des plans qui permettent de limiter les captures et d´indemniser les pêcheurs.

2·Pourquoi l´aquaculture intensive n´est-elle pas une alternative satisfaisante ?


L´aquaculture intensive fournit aujourd´hui 40% des poissons, mollusques et crustacés consommés dans le monde. Malheuresement, ce mode de production participe à l´épuisement des réserves de poissons dans les mers. En effet, il faut 4 kg de poissons pêchés  transformés en farine pour produire 1 kg de poissons d´élevage. D´autre part, la forte concentration des poissons dans les cages d´élevage entraîne la production de fortes cantités de déjections qui souillent les fonds marins et détruisent les milieux.( des études ont été menées)

3·Comment l´aquaculture biologiques permet-elle de s´inscrire dans un développement durable des ressources ?


Longtemps considéré comme inépuisables, les océans nous révèlent aujourd´hui leur fragilité et la perte de leur biodiversité. La surpêche en est l´une des causes. Pour continuer à consommer poissons et crustacés, l´Homme a domestiqué de nombreuses espèces dans des fermes aquacoles. Cependant ces élevages intensifs ont également des effets négatifs sur le milieu marin. Des pratiques plus respectueuses de l´environnement comme l´aquaculture biologique doivent être envisagées.


(ÉCRIT PAR:David Boutigny, François Coutarel, Bernard Espigat, Éric le Bris, Pierre-François Roche, Laurence Sutter)

Gabriela Sanchez


     



























Hje vais vous parler de trois cas de poisson d' elevage :
LE SAUMON DE L'ANTLATIQUE
La production mondiale de saumon en 2007 aura été proche de 1 million de tonnes. C'est la Norvège qui a démarré l'aquaculture du saumon dans les années 1970. Avec une production de 620 000 t en 2006 et de 700 000 t en 2007, elle reste le plus important producteur de Salmo salar. Elle est suivie par le Chili (374 000 t en 2006), le Canada (19 000 t en 2006), les États-Unis, l'Irlande, l'Islande, l'Écosse et la France (1 200 t en 2006), dont les élevages
(2 sociétés) sont situés au large des côtes normandes et bretonnes.
L'Écosse est le premier pays à avoir offert du saumon Label Rouge.
La Norvège en propose depuis peu. Il est notamment produit par les fermes Marine Harvest et Hallvard Leroy.
Il faut vingt-quatre mois pour produire un saumon de 2-3 kg.

LA TRUITE DE MER

La Norvège a développé l'aquaculture de la truite de mer en même temps que celle du saumon dans les années 1970. Elle en a produit 62 000 t en 2007. Le Danemark et l'Espagne sont également producteurs. Il faut trois à quatre ans pour obtenir un poisson de 5 kg.

LA DORADE ROYALE:

L'une des premières espèces de l'aquaculture marine, comme le bar et le turbot. Les principaux pays producteurs sont l'Espagne, la Grèce, l'Italie, la Turquie et la France. Pour différencier leur production, les aquaculteurs français se sont engagés dans une démarche qualité et proposent de la daurade royale Qualité Aquaculture ® France et de la daurade royale AB (Agriculture biologique).
Il faut vingt mois pour produire une daurade royale de 300 à 450 g et trente mois pour produire une daurade royale de 1 kg et plus.

Paula González